Bonjour tout le monde ! Je vous retrouve aujourd’hui pour vous parler de ma dernière (re)lecture que j’ai fait pour sortir de ma panne de lecture en douceur : La Petite Sirène illustré par le talentueux Benjamin Lacombe.

Aujourd’hui, je triche un peu, car je savais que je partais sur une valeur sûre. Voyez-vous, La Petite Sirène est mon conte préféré. Il m’a toujours fascinée par sa beauté et sa mélancolie. Je savais donc que j’allais replonger dans ce récit de mon enfance et remonter à la surface des étoiles plein les yeux. Le petit plus de cette édition ? Les magnifiques illustrations de Benjamin Lacombe, un artiste qu’on ne présente plus. Elles sont sublimes, comme d’habitude. L’artiste parvient à retranscrire, par le contraste entre couleurs vives et profondes, l’ambiance aquatique du texte d’Andersen.
Lacombe fait le choix de jouer sur les genres, donnant à la Sirène et au Prince une apparence androgyne. Il axe son interprétation sur le passage d’un monde à l’autre, de le transition d’un corps à l’autre, à la recherche de sa véritable identité. J’aime beaucoup cette image. D’ailleurs, il s’est inspiré du drapeau trans pour les coloris de son album !
La Petite Sirène n’a jamais autant ressemblé à son créateur, premièrement par son apparence qui évoque un mélange entre la coiffure d’Andersen et le roux flamboyant d’Ariel. Cette édition relie fiction et réalité en nous proposant les lettres envoyées par Andersen. Une correspondance qui nous révèle cet amour impossible qui animait l’écrivain, jusqu’à venir teindre de mélancolie les eaux troubles de son conte le plus célèbre.

Je l’ai dans ma PAL, il faut que je me lance dans cette lecture 🧜♀️
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Il est dans ma pal 🙂 Merci pour ton avis.
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Il est dans ma PAL ! J’ai hâte de m’y plonger ! 🙂
Ton retour me confirme que ce sera un bel instant de lecture, qui m’attend là 🙂
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